Démarche

Avec une vision alternative à la consommation de masse et une volonté de transparence dans la fabrication, Pièce à Porter propose une ligne sans calendrier des collections ni travail à la chaîne. 

Le projet s’appuie principalement sur l’idée d’expérimentation, qu’elle soit formelle ou textile, dans le but d’allier savoir-faire artisanal et démarche artistique, une sorte de bureau d’étude à ciel ouvert. Les pièces sont envisagées comme des expériences sensibles anachroniques dont chaque secret sera transmis.

Alexandra Ferrarini met à profit des années d’expérience dans de grandes maisons parisiennes et un savoir-faire technique toujours dévorant pour tenter d’apporter une approche différente aux modes de consommation actuel.

Ce vestiaire raconté décline le confort et la notion de portabilité aux travers de coupes simples et étudiées, d’un choix méticuleux de textures surcyclées et de couleurs dont les compositions dégagent des univers poétiques aux influences cinématographiques et japonaises. La superposition comme axe central déploie ici ces enveloppes en poupées gigognes plus ou moins près du corps, plus ou moins transparentes, formant une narration nouvelle à chaque assemblage.

Les lignes sont présentées sous forme de calendrier, chaque année formant ainsi une thématique réalimentée au gré du temps, sans pression de productivité qui souvent étouffe les intentions créatives.

Enfin, dans pièce il y a l’idée d’unique, de vêtements racontés dans des matières-écrins, d’habit habité de récits, pour apporter plus de valeur à ce qui nous habille.

POUR FAIRE LA LIAISON ENTRE LE MONDE VISIBLE ET LE MONDE INVISIBLE

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